GUERRE DE LIBÉRATION NATIONALE: Khaled Bounedjma promet de nouvelles vérités sur la Révolution
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GUERRE DE LIBÉRATION NATIONALE: Khaled Bounedjma promet de nouvelles vérités sur la Révolution
Le président de la Coordination nationale des enfants de chouhada (Cnec), Khaled Bounedjma promet de nouvelles révélations sur la guerre de Libération nationale, à la faveur d’un CD rom retraçant «la vraie histoire» de l’Algérie de 1944 à 1962 en cours d’élaboration par des membres de la Cnec.
Lotfi Mérad - Alger (Le Soir) - Intervenant hier à l’occasion d’une conférence de presse tenue au siège de la coordination à Alger, le patron de la Cnec affirme sans donner de détails détenir «des preuves en image et en son sur ceux qui vivaient à l’étranger durant la guerre de Libération et qui sont rentrés au pays après l’Indépendance et se sont arrogés le titre de moudjahidine ». Khaled Bounedjma soutient être en possession d’autres vérités sur notamment «les accords d’Evian, la mort du colonel Amirouche et de Krim Belkacem et l’arrestation de Ben M’hidi». Cette production audiovisuelle sera distribuée le 3 juillet prochain à l’occasion de la première conférence nationale de la Cnec. Celle-ci regroupera selon Khaled Bounedjma, quelque 15 000 adhérents au stade de Zéralda. A cet effet, un bureau composé de 11 membres de la coordination a été installé pour préparer cet évènement qu’il promet «grandiose». Revenant sur les dernières émeutes qui ont secoué différentes régions du pays, le premier responsable de la Cnec, a estimé que ces évènements trouvent leur origine dans l’absence de dialogue entre les pouvoirs publics et les jeunes. Pour lui, l’absence de perspectives d’avenir chez les jeunes les a poussés à sortir dans les rues ça et là pour dénoncer violemment leurs conditions sociales et économiques déplorables. Khaled Bounedjma dira à ce sujet que la responsabilité de trouver des solutions aux problèmes des jeunes incombe aux élus locaux, au Parlement et autres décideurs en précisant toutefois que «ce n’est pas la faute du président de la République ni celle du chef du gouvernement» qui de son avis ont fait «le nécessaire pour permettre aux jeunes de vivre dignement ». Le blocage se situe d’après lui «au niveau de l’exécutif et de l’administration ». Un constat qui l’amènera à demander un changement au sein du gouvernement pour mettre fin à ce «vide politique».
Le soir d'Algérie
Lotfi Mérad - Alger (Le Soir) - Intervenant hier à l’occasion d’une conférence de presse tenue au siège de la coordination à Alger, le patron de la Cnec affirme sans donner de détails détenir «des preuves en image et en son sur ceux qui vivaient à l’étranger durant la guerre de Libération et qui sont rentrés au pays après l’Indépendance et se sont arrogés le titre de moudjahidine ». Khaled Bounedjma soutient être en possession d’autres vérités sur notamment «les accords d’Evian, la mort du colonel Amirouche et de Krim Belkacem et l’arrestation de Ben M’hidi». Cette production audiovisuelle sera distribuée le 3 juillet prochain à l’occasion de la première conférence nationale de la Cnec. Celle-ci regroupera selon Khaled Bounedjma, quelque 15 000 adhérents au stade de Zéralda. A cet effet, un bureau composé de 11 membres de la coordination a été installé pour préparer cet évènement qu’il promet «grandiose». Revenant sur les dernières émeutes qui ont secoué différentes régions du pays, le premier responsable de la Cnec, a estimé que ces évènements trouvent leur origine dans l’absence de dialogue entre les pouvoirs publics et les jeunes. Pour lui, l’absence de perspectives d’avenir chez les jeunes les a poussés à sortir dans les rues ça et là pour dénoncer violemment leurs conditions sociales et économiques déplorables. Khaled Bounedjma dira à ce sujet que la responsabilité de trouver des solutions aux problèmes des jeunes incombe aux élus locaux, au Parlement et autres décideurs en précisant toutefois que «ce n’est pas la faute du président de la République ni celle du chef du gouvernement» qui de son avis ont fait «le nécessaire pour permettre aux jeunes de vivre dignement ». Le blocage se situe d’après lui «au niveau de l’exécutif et de l’administration ». Un constat qui l’amènera à demander un changement au sein du gouvernement pour mettre fin à ce «vide politique».
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