Nucléaire iranien - Poutine : «Rien n'indique que Téhéran essaie d'acquérir l'arme nucléaire»
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Nucléaire iranien - Poutine : «Rien n'indique que Téhéran essaie d'acquérir l'arme nucléaire»
Gouvernement iranien : «Pas de suspension de l'enrichissement d'uranium»
Le Premier ministre russe, M. Vladimir Poutine, a affirmé que "rien n’indique" que l’Iran essaie d’acquérir l’arme nucléaire, mais veut utiliser son droit "au nucléaire civil". M. Poutine a dit qu’il "ne croit pas" que l’Iran essaie d’acquérir l’arme nucléaire et que "rien ne l’indique", dans une interview au journal Le Monde.
"Les Iraniens sont un peuple fier. Ils veulent jouir de leur indépendance et utiliser leur droit légitime au nucléaire civil", a-t-il ajouté, assurant être "formel : sur un plan juridique, l'Iran n'a rien enfreint pour l'instant".
L’Iran "a même le droit d'enrichir (de l'uranium). Les documents le disent", a déclaré M. Poutine. On "reproche à l'Iran ne pas avoir montré tous ses programmes à l'AIEA. Ce point reste à régler", a-t-il poursuivi.
Il a indiqué avoir "toujours dit ouvertement à (ses) partenaires iraniens que leur pays ne se trouvait pas dans une zone aseptisée, mais dans une région explosive" et leur a demandé "d'en tenir compte, de ne pas irriter leurs voisins ou la communauté internationale".
El moujahid
Le Premier ministre russe, M. Vladimir Poutine, a affirmé que "rien n’indique" que l’Iran essaie d’acquérir l’arme nucléaire, mais veut utiliser son droit "au nucléaire civil". M. Poutine a dit qu’il "ne croit pas" que l’Iran essaie d’acquérir l’arme nucléaire et que "rien ne l’indique", dans une interview au journal Le Monde.
"Les Iraniens sont un peuple fier. Ils veulent jouir de leur indépendance et utiliser leur droit légitime au nucléaire civil", a-t-il ajouté, assurant être "formel : sur un plan juridique, l'Iran n'a rien enfreint pour l'instant".
L’Iran "a même le droit d'enrichir (de l'uranium). Les documents le disent", a déclaré M. Poutine. On "reproche à l'Iran ne pas avoir montré tous ses programmes à l'AIEA. Ce point reste à régler", a-t-il poursuivi.
Il a indiqué avoir "toujours dit ouvertement à (ses) partenaires iraniens que leur pays ne se trouvait pas dans une zone aseptisée, mais dans une région explosive" et leur a demandé "d'en tenir compte, de ne pas irriter leurs voisins ou la communauté internationale".
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